Vos compositions littéraires

Oui, je sais, le titre fait très pompeux ...

Juste un sujet pour que chacun poste ses travaux écrits. Je me lance avec une fanfic sur Resident Evil 3, le jeu, que j'ai écrit il y à quelques années. Pour info, ce texte contient des descriptions sanglantes et horrifiques (enfin... censé l'être, je vous laisse juge) donc vous êtes prévenus.


A titre d'information...

Pour ceux qui ne connaissent pas l’univers de BIOHAZARD (RESIDENT EVIL en VF), ou ceux qui auraient besoin d’une piqure de rappel, voici un résumé des événements conduisant a cette fanfic :

Les débuts de cette série se déroulent aux abords de Raccoon City, une petite bourgade du middle West des Etats-Unis, ville paisible jusqu’à ce qu’une série de meurtres barbares défrayent la chronique (ou les cadavres des victimes sont retrouvés à moitié dévorés). Le département des forces spéciales de la police locale, le STARS (Special Tactic and Rescue Service), composé de 13 membres et répartie en 2 équipes (Alpha et Bravo) est chargé de l’enquête. Très vite, tout les indices concourent à indiquer que les meurtriers se cachent au sein des monts Arklay, dans la vaste forêt qui couvre la plus grande partie de la région. On envoie donc l’équipe Bravo en reconnaissance à bord d’un hélicoptère. Arrivé au dessus de la forêt, le moteur de l’hélico lâche et le pilote atterrit en urgence dans les bois, se retrouvant sans possibilités de communiquer avec la ville.
L’équipe Alpha des STARS est envoyé en forêt à son tour pour porter secours aux Bravo qui n’ont plus donnés de signe de vie depuis leur accident. Ils découvrent sans peine la carlingue de l’hélicoptère des Bravo et se posent à proximité pour entamer des recherches. Très vite, ils subissent l’agression de chiens zombis et, pris de panique, leur pilote décolle seul, abandonnant ses collègues à leur destin. Les Alphas se voient contraints de se réfugier dans l’abri le plus proche, le manoir Spencer, un ancien domaine censé être à l’abandon depuis des années. Sur place, ils font connaissances avec les monstruosités crées par Umbrella et retrouvent les cadavres des Bravo qui les ont précédés. Le manoir n ‘est en fait qu’une façade qui sert à masquer un laboratoire de recherche qui travaillait sur la mise au point d’une arme biologique ultime (le Tyrant) et les applications militaires du virus T. Enfin, à la surprise générale il s’avère que Albert Wesker, le chef des STARS lui-même, est un traître à la solde d’Umbrella ! Après une nuit de combats dantesques, les STARS survivants parviennent à éliminer le traître ainsi que le Tyrant et à fuir le complexe du manoir (grâce au retour du pilote de l’équipe Alpha) avant que tout ne soit réduit en cendres par le système d’autodestruction du laboratoire.
Au final, sur les 13 membres du STARS, seuls 5 survivent :
Jill Valentine, Barry Burton, Chris Redfield, Rebecca Chambers et Brad Vickers, le pilote. Suite à cette catastrophe, les STARS tentent de mettre en évidence l’implication d’Umbrella dans ce drame, mais leurs efforts n’aboutissent presque pas, la puissante firme faisant tout son possible pour étouffer l’affaire. Plus décidés que jamais, les STARS se préparent à continuer la lutte. Deux mois plus tard, un nouvel accident de laboratoire provoque une fuite du virus T et Jill, qui est restée a Raccoon City, tente de fuir les lieux.

Les noms des personnages, lieux et autre sont la propriété exclusive de Capcom…

THROWN INTO DESPAIR …

“clic” ...
Le bruit de la clef tournant dans la serrure investit Jill d’un regain d’espoir, et elle en avait bien besoin. C’était la bonne clef. Cela faisait deux heures qu’elle errait dans le commissariat à la recherche de matériel, de munitions, et de n’importe quoi d’autre qui puisse s’avérer utile .
Son premier réflexe avait bien sur été de se ruer à l’étage, dans l’aile gauche, là où se trouvait le bureau des STARS … Pour avoir la désagréable surprise de trouver la porte fermée. Elle avait donc dû explorer les autres parties accessibles de l’immense bâtisse afin de trouver de quoi ouvrir la porte et cette petite clef, perdue au fond d’un tiroir de la salle des consignes (dieu seul sais ce qu’elle faisait là), était la seule chose intéressante qu’elle avait réussi à trouver en explorant les salles dévastées.
« Cette ordure de Irons, pensa-t-elle. C’est sûrement lui qui à ordonner le fermeture du bureau. J’espère qu’il n’a pas fait enlever tout le matériel. Mais ce ne sera pas la première désillusion de la journée, loin de là … »
Se parler a elle-même était presque devenue un besoin pour Jill. Cela l’aidait à supporter la vague de folie et de terreur sous laquelle était noyé Raccoon City.
Les désillusions, elle en avait eu son lot. Elle était venu au commissariat pleine d’espoir, pensant y trouver des survivants et de l’aide pour fuir ce cauchemar … Elle avait très vite déchantée. Pour la énième fois, la scène repassa dans sa tête.
« Mon dieu, quand cela cessera t-il ? »

Elle était dans la cour, face à l’entrée principale du bâtiment, flanquée de deux réverbères et de drapeaux portant respectivement les insignes de la police de Raccoon et des états unis d’amérique. Elle observait la barricade improvisée sur sa gauche quand elle avait entendu les grilles derrière elle s’ouvrir.
C’était Brad Vickers, un des rares survivants du STARS après la tragédie du manoir Spencer. Survivant, il ne le resta pas longtemps. Il était en proie a une peur panique et ses vêtements portaient les marques de nombres de coups et blessures, tachés de sang en certains endroit. Il scruta un instant la cour de ses yeux hagards, avant de fixer nerveusement son ancienne collègue.
« Jill ! Dieu merci tu est là ! Nous avons un … »
Le membre de l’équipe Alpha ne termina jamais sa phrase. Un colosse gigantesque, qui semblait surgit de nulle part, atterri devant lui.

Il devait bien mesurer plus de deux mètres, portait une étrange combinaison de cuir tout en bandes, ceintures et attaches métalliques. Sa peau était boursouflé, granuleuse, à la teinte grise et maladive, accusant les stigmates du terrible virus T. Nul pilosité n’entachait la peau cadavérique du monstre, dépourvu de poils ou de cheveux. Une sorte de réseau de tentacules aux reflets violacés se trouvait a la base de ses épaules et de son cou, traversant la chair là, visible sous la peau, et ressortant ici, ondulant en de sourdes palpitations.
Son visage était défiguré par une large cicatrice bordée d’agrafes chirurgicales qui le privait de son œil droit. Quand au gauche, il était d’un blanc laiteux qui semblait exprimer une haine sans limite pour l’humanité. Une rangée de dents aux proportions grotesques emplissaient sa bouche dépourvue de lèvres, figés dans un rictus permanent.

Brad glapit de terreur tandis que la chose s’avançait vers lui. Jill, abasourdie, ne put rien faire d’autre que de fixer cette monstruosité, incarnation très réelle de la mort et cristallisation de la fureur meurtrière qui s’était emparée de la ville.

La créature ne tarda pas à acculer Brad dans un coin de la cour, marchant d’un pas lourd et régulier, sombre martellement aux résonnances semblables aux cloches de l’apocalypse. Il le souleva d’un bras tandis que ce dernier hurlait de terreur suppliant son ancienne partenaire de l’aider. Le temps que Jill reprenne ses esprits, il était trop tard : dans un fracas de chair palpitante et de fluides organiques, l’improbable géant fit ressortir l’extrémité d’une de ses atroce tentacule par la paume de son autre main. Celle-ci se tordit dans tout les sens, fouettant l’air ambiant, avant de se raidir. Sans ménagement aucun, le colosse l’enfonça dans la bouche de l’ancien pilote, transperçant son crane au passage.

Tout c’était joué en un instant et c’est avec un sentiment d’impuissance que Jill regarda la créature projeter le cadavre de Brad à ses pieds. Les yeux morts de ce dernier la fixait sans ciller, comme pour l’accuser de ne pas avoir su le sauver. Le monstre avança vers elle et prononça un mot, un seul, d’une voix grave et caverneuse :

« STARS !!! »

C’est à ce moment qu’elle compris et saisie toute la perfidie, la cruauté et l’insondable folie d’Umbrella. Tout se fit clair dans sa tête. Une créature crée dans un seul et unique but : traquer et éliminer les membres du STARS rescapés de l’affaire du manoir. Sans doutes la puissante firme avait-elle donnée vie à ce colosse uniquement pour cela. Quelle dérision … comme si le chaos dans lequel baignait cette ville ne suffisait pas… Sans doutes les dirigeants psychotiques de la multinationale avaient-ils jugés que Raccoon City serait le champ de bataille idéal pour tester leur nouvelle création.

Une haine incontrôlable monta petit à dans l’esprit de Jill. D’abord le manoir, puis Raccoon et maintenant ça ? Umbrella ne l’avait donc pas fait assez souffrir ? Sans réfléchir, elle avait braqua son fusil a pompe sur la créature. L’arme, qu’elle avait trouvé au fond d’une cave entre les mains d’un policier mort, disposait d’une puissance de feu non négligeable. Elle se mit a faire pleuvoir des volées de plomb sur le monstre tout en hurlant sa rage.
Le combat qui se déroula par la suite fut titanesque. En dépit de ce que son apparence laissait présager, le géant était particulièrement véloce, et Jill du alterner tir, rechargement et série de roulades pour s’en sortir indemne. Les battoirs du monstre fendait l’air, cherchant a pulvériser la jeune femme. A chaque fois elle esquiva et les poings de son adversaire fracassèrent la pierre du sol et des murs environnant, tandis que des gerbes de chevrotines perforaient le cuir de son costume, dans un nuage de sang noir. Les douilles vides commencèrent à s’accumuler a terre sans que le monstre ne montre un quelconque signe d’épuisement alors qu’il était recouvert de son propre sang. Finalement, Jill se retrouva acculée contre les grilles du commissariat. Tétanisée, elle vida le magasin de son fusil du plus vite qu’elle pu. La chose, qui avait levé son poing pour l’abattre sur elle, le laissa alors retomber lentement, puis se mis a vaciller sur ses jambes aussi larges que des troncs d’arbre. Comme au ralenti, il bascula en arrière pour s’écrouler comme une masse, fracassant les pavés de la cour.

Jill se souvenait ensuite avoir pleurée devant le corps inerte de son ancien compagnon, le suppliant de l’excuser pour ne pas avoir su réagir, de ne pas avoir su le sauver … Mais le désespoir qu’elle avait ressenti devant le corps ne fut rien à coté de celui qui l’attendait dans le commissariat. Passant les massives doubles portes, elle était entrée dans l’imposant hall, une merveille d’architecture. Elle avait prise la deuxième porte à gauche (les deux autres étant solidement barricadées par des planches). C’est à ce moment que ses derniers espoirs partirent en fumée :
La porte qu’elle avait ouverte donnait sur les bureaux administratifs et elle compris qu’elle ne serait pas plus en sécurité ici que n’importe où dans cette ville. La pièce était dans le désordre le plus complet, comme si on avait férocement lutté, ce qui était sans doute le cas. Des barricades improvisées constituées de tables renversées occupaient l’espace, et nombre de dossiers, amas de documents et autre fournitures jonchaient le sol. Elle découvrit la cause de tout ce remue-ménage sous la forme de quatre zombies putréfiés qui avançaient vers elle les bras tendus, en poussant des gémissements plaintifs. Leur tenu, bien que déchiquetées et en lambeaux, les identifiaient clairement comme des officiers de police. Des anciens collègues …
Pas encore totalement remise de la mort de Brad, c’est les larmes aux yeux qu’elle avait tirée sur les créatures avec son Beretta. Elle visa la tête, tentant d’abréger les souffrances post-mortem de ces gens. Après ce massacre, elle avait découvert, en inspectant les lieux, le corps atrocement mutilé de Marvin Branagh, un officier de la crim’ avec qui elle s’entendait plutôt bien …
La dernière fois qu’il s’étaient vus, il préparait une petite fête pour la venue d’un jeune homme d’une autre ville qui viendrait bientôt travailler à Raccoon en tant que nouvelle recrue pour le STARS, un certain Leon Scott Kennedy. On trouvait d’ailleurs encore une partie des préparatifs sur les bureaux, au milieu du désordre et du sang, ce qui donnait une atmosphère irréelle et malsaine à la pièce. Il y avait des gobelets, des bouteilles, des cotillons et, ironiquement, un petit mot de bienvenue qui ne serait sans doute jamais lu … sauf en admettant que ce type commette la folie mortelle de venir ici, pensa t-elle.

La suite de son exploration lui avait sans répit toujours apportée la même chose : mort et désolation. Et elle en était rendu là, se tenant devant la porte désormais déverrouillée du bureau des STARS.
Elle poussa la porte et pénétra dans son ancien lieu de travail. Comme la plupart des autres pièces du commissariat, il y régnait un désordre complet, mais les lieux ne semblaient pas avoir trop changé par rapport à l’époque ou Raccoon City était encore la petite ville paisible qu’elle aurait toujours dû rester… Bien sur, après l’accident du manoir, il y a deux mois, les bureaux avaient étés réorganisés, suite à la disparition de la plupart des membres de l’équipe Bravo. Chaque bureau reflétait la personnalité de son propriétaire :
Celui de Rebecca Chambers, la jeune experte médicale et seule survivante de l’équipe Bravo, était encombré par une trousse de soins portative et des cartons qui contenaient sans doute des affaires qu’elle n’avait pas eu l’occasion d’ouvrir. Qu’elle n’aurait jamais l’occasion d’ouvrir.
Sur celui de Barry Burton, spécialiste en armement de l’équipe Alpha, on pouvait apercevoir des répliques d’armes à feu et les pièces démontées d’un semi-automatique, sûrement un glock 17.
Quand au bureau de Chris Redfield, le tireur d’élite de l’équipe Alpha, il surchargé par tout un fatras d’objets divers, allant de CD de hard rock à divers dossiers d’enquête. Il y avait aussi son blouson préféré, celui avec un dessin d’ange dans le dos, accroché au mur, et même sa guitare électrique, accoudée à son fauteuil. Chris avait toujours été quelqu’un de désordonné, et son bureau faisait plus que refléter cette tendance.
Sur son bureau à elle, il y avait son béret bleu fétiche et quelques dossiers en attente. En ce qui concernait le reste de la salle, il y avait le bureau de cette pourriture de Wesker, ex-capitaine des STARS, qui était désormais utilisé pour classer les dossiers. Tout le coté droit de la pièce était dédié à un dispositif de communication ultra sophistiqué qui rendait les autres services du commissariat jaloux du STARS et qui semblait à présent hors-service. Dans un coin, on trouvait une étagère surchargée de divers trophées, gagnés lors de compétitions de tir. Une table avec un fax et une grande armoire en fer (qui servait habituellement à stocker les armes des différents membres de l’équipe) complétaient le décors.
Jill avança vers son bureau en poussant un soupir mélancolique. Elle repensait à son boulot, ici, il y a quelques mois, avant le début de toute cette psychose. Depuis sa nomination au sein du STARS, elle n’avait jamais autant aimée son travail. Ses coéquipiers étaient les personnes les plus sympathiques qu’elle connaissait. Elle avait 23 ans, elle était jeune et avait toute la vie devant elle.
Umbrella avait brisé tout ses rêves.
Elle fouilla dans les tiroirs de son bureau et retrouva sans peine son bon vieux passe-partout qu’elle avait fabriquée elle-même. En fouillant le reste de la salle, elle trouva une boite de balles 9mm sur le bureau de Barry et pris avec elle la trousse de soins de Rebecca. Mais sa plus belle découverte restait le Magnum Smith et Wesson qu’elle avait trouvée au fond de l’armoire en fer.
Elle s’assit sur le bureau de Wesker pour se reposer un moment, repensant encore à Brad malgré elle. Elle balaya la salle d’un regard inexpressif avant de se fixer subitement sur un cadre accroché au mur. C’était une photo des membres du STARS, prise il y a 5 mois sur le toit du commissariat. Elle sentit de nouveau les larmes lui monter aux yeux. Tout le monde était là : Joseph, Kenneth, Forest, Richard, Enrico, …
L’horreur qu’elle avait vécu dans les couloirs du lugubre manoir lui revint en mémoire. D’abord Joseph, qui s’était fait dévorer par les chiens mutant à l’entrée du domaine, première victime d’une liste qui n’allait cesser de s’agrandir tout au long de cette terrible nuit. Ensuite, ce fut Kenneth, dont elle avait retrouvé le corps atrocement mutilé dans la demeure, tout comme pour Forest. Et enfin Richard et Enrico qui étaient morts dans ses bras, en dépit de tout les efforts qu’elle avait fait pour les sauver. Cette nuit là, elle s’était battu, elle avait repoussée ses limites physiques et mentales, dans un seul et unique but : survivre. Quand elle avait vu le domaine du manoir exploser, depuis l’hélicoptère de Brad qui les avaient sortis de cet abattoir, elle croyait sincèrement que jamais plus elle ne connaîtrait un tel enfer.
Mais elle se trompait. Elle n’avait survécu que pour tomber dans un cauchemar pire encore deux mois plus tard.
Elle avait l’impression de s’être battu toute sa vie et elle en avait assez. Assez d’Umbrella, de cette destruction, de tout.
Elle arma son Beretta et le pointa sur sa tempe. Oui, il était temps que cela cesse. Dans quelques instants, elle serait libre, délivrée de la tourmente à jamais.
Son doigt effleura la gâchette …

C’est alors qu’un voyant s’alluma sur le dispositif de communication et une voix couverte par de la friture se fit entendre dans la pièce :
« ici Carlos… envoyer… renforts… pas de survivants ici… ait perdu la trace de l’unité de… »
Puis le voyant s’éteignit et la pièce retomba dans le silence. Jill baissa lentement son arme, son esprit embrumé ne parvenant pas à croire ce qu’elle venait d’entendre… Il y avait un survivant, là, quelque part en ville !
Elle sécha ses larmes du revers de la main. Quelqu’un avait besoin de son aide et tout de suite. C’est à ce moment qu’elle réalisa qu’elle ne pouvait pas se permettre d’abandonner. Elle n’avait pas le droit, s’aurait été déshonorer la mémoire de ses coéquipiers. Elle devait lutter, encore et toujours. Elle ferait savoir au monde que ses compagnons n’étaient pas morts pour rien. Umbrella devait payer, et elle allait employer tout les moyens pour y parvenir, elle, Jill Valentine, membre de l’équipe alpha des STARS. Umbrella pouvait lui envoyer autant de monstres qu’il voulait pour lui bloquer la route, elle survivrait. Plus rien ne pouvait l’arrêter à présent.
Forte de cette détermination nouvelle, elle rassembla son équipement, jeta un dernier regard à la photo sur le mur et sortit de la pièce. Elle savait qu’elle avait fait le bon choix.

Epilogue …

Le combat avait été difficile et il avait bien cru y rester, mais il s’en était finalement tiré. Carlos regarda autour de lui. La ruelle sombre dans laquelle il se trouvait était à présent encombrée par les corps de six zombis.
Il éjecta le chargeur vide de son fusil d’assaut et en inséra un plein, tout en vérifiant du coin de l’œil qu’aucun des morts-vivant ne s’avisait de se relever. Après tout, on ne savait jamais si ces choses étaient vraiment mortes …
Son unité avait été décimée, il en était le seul rescapé. Des créatures verdâtres au griffes acérées, sorte de parodie obscène de crapauds boursouflés, leurs étaient tombés dessus alors que lui et ses compagnons d’armes atteignaient le centre-ville. La lutte avait été brève, et ils n’avaient étés que trois à s’en sortir, lui compris. Par la suite, ils avaient errés de ruelles en ruelles, multipliant les affrontements contre des créatures qu’un esprit sain n’aurait pu concevoir et, au final, les deux autres rescapés étaient morts… et il avait bien faillit les rejoindre en se faisant surprendre par un groupe de zombis. A présent, il lui semblait peu probable que les secours qu’il avait essayé de contacter rappliquent.
Umbrella l’avait envoyé dans un sacré merdier. Mais il ne fallait surtout pas qu’il perde espoir. Peu lui importait l’origine de tout ces monstres a ce moment précis. Sa mission était de venir en aide aux civils survivants, des gens qui n’étaient pas entraînés au combat et désarmés. Il devait tout faire pour venir en aide à ces victimes.
Il avança dans la ruelle, son fusil d’assaut pointé devant lui. Il déboucha dans une grande rue, longée par de nombreux bâtiments, dont un théâtre et un restaurant. Le paysage environnant était semblable a ce qu’il avait vu depuis son arrivé en ville : des carcasse de voitures laissées à l’abandon, des barrières de fortunes, et des débris ça et là. Derrière lui se trouvait une sorte de fontaine décorative. Il l’ignora et commença à se diriger vers le restaurant, confiant…

FIN

Et voilà, j’espère que cette fanfic vous aura divertis !

Tout d'abord, désolé de l'avoir fractionné en plusieurs bout, mais ça ne passait pas autrement (message trop long !)

Alors, je sais, de nombreux d’entre vous vont me dire : pourquoi avoir transformée Jill en maniaco-dépressive ?! Et bien moi, je trouve que c ‘est dans la logique des choses : quand on s’aperçois qu’on à survécu à un cauchemar pour retomber dans un autre pire encore, peu de temps après, ça à de quoi déprimé, non ? Sans compter que la pauvre Jill à vu tout ses collègues du STARS (ou presque) mourir sous ses yeux au manoir, ça à du lui faire un choc de voir Brad se faire écharpé par le Némésis !! Donc rien que de plus normal de la voir craquer. Et puis, de toute façon, on sait quez cette histoire finit bien, non ? J
Quand à l’épilogue avec Carlos, si elle se finit de façon aussi abrupte, c’est en fait parce qu’il va rencontrer Jill dans le restaurant (si on suit le déroulement du jeu) … et que je cherchais un moyen de conclure cette histoire !
Quoi qu’il en soit, si vous désirez m’adresser des commentaires (en bien ou en mal), louanges, critiques, offrandes ou dons financiers, vous pouvez toujours le faire, c’est par la critique qu’on s’améliore !

Histoire de faire la comparaison, voici deux cinématiques tirées du jeu :

Raccoon city croule sous les zombis :

La mort de Brad :

coucou ca va?

moi vous allez peut etre rigoler mais je ne connais pas du tout (je ne vais pas mentir pour vous faire plaisir )

en tout ca j'ai trouvé cela tres bien et une personne comme moi qui ne connais pas peut suivre toute l'histoire facilement. j'ai hate de voir la suite racontée par mon ami cassandra.^^

félicitation

je te dirais deux troi petites choses en privé

Merci beaucoup, ça fait très plaisir (ça ce dit, ça ?)

Concernant la suite, ben... y'en a pas, lol, la fanfic s'arrête là. Par contre je suis en train d'écrire une fanfic sur l'univers de Final Fantasy 7 (encore inachevée a ce jour mais forte d'une longueur de 78 pages sur Word ...). Dites moi si ca vous tente.

Sinon, ben, je ne suis pas le seul "romancer-wanabee" du forum, d'autres aussi sont très doués (bien que dans un genre différent et plus léger ).

Voila. Peut-être qu'a l'occasion je ferait une fanfic sur WOW ...

oui moi je veux d'autres fanfics

pleins d'autres


d'autres romancer-wanabee? ah bon? mdr

++